Dragging Bodies To The Fall, le nouvel album de Junon reprend les choses là où The Shadows Lenghten (2021) les avait laissées. Une bonne dose de post-hardcore enregistrée, mixée et masterisée en compagnie de Francis Caste et qui est disponible depuis le 15 Mars chez Source Atone Records.
Né des cendres de General Lee, JUNON assénait son premier coup de glaive en 2021 avec l’EP The Shadows Lenghten (Source Atone Records). Un quatre titres posant les bases de son identité sonore entre explosions hardcore, envolées post-rock et mélodies salvatrices et déchirantes. En somme, un post-hardcore à fleur de peau oscillant entre révoltes et déchirements. 2024 verra la sortie de Dragging Bodies To The Fall, leur premier album. Dragging Bodies To The Fall c’est neuf titres pour près de quarante-cinq minutes d’un post–hardcore puissant et mélodique. Mais bien au-delà, ce disque est un exutoire qui traite des forces destructrices qui habitent l’humanité et qui la conduisent à sa perte. Un cri d’alerte et d’éveil alors que le paysage et l’avenir qui se dessinent lentement sous nos yeux s’annoncent terrifiants. Dragging Bodies To The Fall a été enregistré, mixé et masterisé par FrancisCaste au Studio Sainte-Marthe (Hangman’s Chair, Regarde les Hommes Tomber, Pogo Car Crash Control, etc.).
Des cœurs qui saignent, une guerre des nerfs, des corps qui serpentent de frustration et cette colère, capturée et recrachée. Ensemble, épaule contre épaule et les poings serrés, nous descendons vers l’inconnu, là où il n’y a plus de lumière, scrutant une dernière fois le ciel.
Le groupe de metal Allemand RAMMSTEIN perd son procès pour plagiat
RAMMSTEIN a été accusé de plagiat par ce groupe Français. NINJA CYBORG est un groupe Français d’electro. Très certainement un combat pour la vérité entre David et Goliath C’est le tube « Deutschland » qui pose problème, et il est vrai qu’à l’écoute des 2 titres, le mimétisme est sidérant. Et seulement 6 mois séparent la sortie de ces 2 titres. Après un an d’expertise en deuxième instance, le rapport de 40 pages est sans appel ! « aucune rencontre fortuite ne peut être retenue du fait des trop nombreuses ressemblances et que Rammstein a sans aucun doute commis un plagiat ».
Rappel des faits de la part de NINJACYBORG
« Le 10 décembre 2018 nous publions sur Youtube notre nouveau single The Sunny Road. Le 14 décembre 2018, ce single sort sur la compilation French Synthwave Vol.2 en digital et en CD. Le 15 juillet 2020, nous sortons notre second EP au titre éponyme dont le morceau d’ouverture est The Sunny Road. Dès le lancement de la promotion de cet EP, nous recevons de très tombeaux messages, parfois insultants, nous accusant d’avoir plagié le titre Deutschland de Rammstein, dont le clip a été publié entre-temps, le 28 mars 2019 et qui est le titre d’ouverture de l’album Rammstein sorti le 17 mai 2019. En effet, les deux morceaux comportent de très nombreuses ressemblances, à tel point que même l’application SHAZAM les confondait.
Le développement de notre projet a quasiment été stoppé par cette affaire. En effet, The Sunny Road est notre titre phare, et nous avons mis énormément de moyen pour produire son clip, qui a par ailleurs remporté un certain nombre de prix. Aujourd’hui, nous ne pouvons plus developper notre projet, tant pour des raisons financières que pour des raisons pratiques. Nous ne pouvons pas avancer en étant sans cesse accusé de plagiat.
C’est pourquoi, après mûre réflexion, nous avons fait le choix de saisir la justice, en demandant qu’une expertise musicale soit ordonnée, par un expert indépendant, impartial, et soumis au contrôle d’un juge. Cela n’a pas été une décision facile à prendre, mais nous nous sentons aujourd’hui confiants et légitimes dans notre démarche.
La presse s’en est récemment fait l’écho (Le Parisien, Sud-Ouest). Suite à ces articles, nous recevons depuis quelques jours beaucoup de messages de soutien, ça nous change !
Nous souhaitons également par notre démarche mettre en lumière que de très nombreux groupes se font siphonner leur talent de manière régulière. Et que la plupart n’ont pas les moyens de le démontrer, ou tout du moins, comme le faisons ici, de demander à la justice de le faire. Nous avons la chance que NinjA Cyborg soit soutenu pour une maison d’édition sérieuse, Music Unit, sans qui nous n’aurions pas trouvé la force et le courage d’avancer. »
A noter que le clip de « Deutschland » vient de dépasser les 38 millions de vues en à peine 4 ans.
Et quelle partie ! Un cauchemar musical orchestré de toute pièce par la férocité d’un serial killer se nourrissant des plus grands maîtres de l’horreur pour ne faire qu’un avec leurs mondes horrifiques. En somme l’hybride parfait de toutes les démences cinématographiques humaines se nommant VAULT OF HORRORS.
Le monstre de père qui l’a enfanté, ABORTED, dont la sauvagerie frénétique rampe et dévore les intestins violemment depuis déjà trois décennies, frappe et découpe encore plus profondément aujourd’hui. Se nourrissant de nos chairs et organes goulûment, par des frissons effrayants et sanguinolents cauchemardesques cultissimes, dans un dégueulis extrême dévastateur par une onzième et nouvelle oeuvre d’une grande et magnifique laideur.
J’AI ETE INTERROGE PAR UN EMPLOYE DU RECENSEMENT. J’AI DEGUSTE SON FOIE AVEC DES FEVES AU BEURRE, ET UN EXCELLENT CHIANTI. LE SILENCE DES AGNEAUX
.
Dix moments impensables sur quarante petites minutes, Carpenteriennes, Cronenbergiennes, Hitchcockiennes, cliniques, froides laissant peu de place aux récitals émotionnels, concassés par une rapidité démentielle au déluge technique ahurissant.
Chanson « Dreadbringer » (avec Ben Duerr de SHADOW OF INTENT) :
Pourtant, c’est justement quand le BRUTAL DEATH TECHNIQUE de VAULT OF HORRORS laisse sa démence se faire partiellement submergée par toutes formes d’humanité, que l’horreur racontée, consume amplement de l’intérieur. Comme sur le monstrueux « Deadbringer », dont l’ambiance cinématographique marquée, intronise l’œuvre des enfers, en variant les tempi, toujours sous la dominance de l’œil diabolique, toutefois transfiguré par des leads angéliques aux quelques traces de lueurs divines, suintant encore sur les portes du lieu saint.
TA MERE SUCE DES BITES EN ENFER, L’EXCORCISTE.
Empreinte religieuse, piétinée, souillée par une explosion frénétique non dénuée d’émotions, connectant VAULT OF HORRORS aux rois consacrés, de ceux, les plus hideux et cultes de l’horreur du septième art.
Du « Golgothan » de DOGMA à HELLBOUND de MASSACRE A LA TRONCONNEUSE, à MYST, les grands sadiques horrifiques possèdent l’esprit farouche d’ABORTED, à travers les hurlements vocaux et la folie d’un DEATH METAL méchamment noir et ultra peaufiné (« Brotherhood Of Sleep »), se substituant follement aux images des salles obscures, composées d’un savant mélange de cris d’angoisses et d’easter eggsen.
Clip vidéo de la chanson « Death Cult » (avec Alex Eriande DESPISED ICON) :
Une série d’effigies originales, dont l’extrême décadence danse (« Death Cult »), scalpel en main dans la peau et l’esprit d’un screamer différent sur chaque charcutage en règle de VAULT OF HORRORS. De sacrés représentations vocales pour de sacrés fils de pute devenus mythiques dans l’imaginaire de réalisateurs visionnaires et exceptionnels (Alex Erian (DESPISED ICON) à Johnny Ciardullo (CARCOSA / ANGELMAKER), Ben Duerr (SHADOW OF INTENT), Francesco Paoli (FLESHGOD APOCALYPSE).
JE VOIX DES MORTS. LE SIXIEME SENS.
Ainsi, l’éclectisme des voix vociférées vient faire corps avec celle du maître des lieux SVEN DE CALUWE, toujours plus diabolisée, épousant parfaitement les ombres de la violence et ses fantômes conceptuels en arborant une palette stylistique vocale des plus impressionnantes (« Death Cult »). Chaos à la rage démesurée, mais toujours parsemé d’éléments nouveaux et mélodiques (« Hellbound »).
Même si comme ses géniteurs de l’ombre, VAULT OF HORRORS joue extrêmement vite et fort, avec une maîtrise technique martiale. Maintes subtilités (quelques notes de synthé ici et là) dans cette débauche de vélocité (« The Golgothan »), aux déconstructions rythmiques effarantes, atteignant son paroxysme sur la débauche d’énergie infligée sur l’écrasement furieux des pédales de KEN BEDENE, dont certaines parties paraissent naître du film fiction.
Quant à l’instrument (guitare) insufflant les parties les plus prenantes et mélodiques (« The Shape Of Hate »), il apprivoise l’ultra violence des morceaux tout en enchaînant une pléiade de riffs furibonds, copulent sa force de pénétration avec la basse, rappelant la bestialité primaire de ses dix commandements (titres), comme le rythme des chœurs qui s’emballe quelque peu un peu sur l’épique et terrifiant « Naturom Demonto ».
MAIS QUI ETES-VOUS ? (LA VOIX AU TELEPHONE): LA QUESTION N’EST PAS DE SAVOIR QUI JE SUIS MAIS OU JE SUIS. SCREAM.
Schizophrenie phonique, mis en exergue par quelques breaks, quasi signature du groupe, surgissant sournoisement, responsable aussi de douceur tout aussi malsaine que l’excercice rythmique bombastique jusqu’ici vénéré (« Malevolent Haze »).
UN MASSACRE A LA TRONCONNEUSE échevelée, violence récréative et créative démontrant la force et l’endurance d’un groupe fantastique, à l’œuvre conceptuelle maîtrisée et aboutie de bout en bout. Le brutal death metal de VAULT OF HORRORS est admirablement bien mis en lumière, par une idée générale absolument géniale et collant à l’étique d’ABORTED, réalisée par une technique implacable, qu’elle soit instrumentale ou sonore.
La parfaite adéquation à la météo ambiante extrêmement venteuse et pluvieuse, mais les giboulées de sang de VAULTS OF HORRORS ne sont quant à elles, qu’à leurs balbutiements…
UN DEUX, FREDDY TE COUPERA EN DEUX… FREDDY KRUEGER.
LINE-UP :
SVEN « Svencho » DE CALUWE – chant
IAN JEKELIS – guitare
DANIEL KONRADSSON – guitare
KEN BEDENE – BATTERIE
Tracklist: (40m)
01. Dreadbringer (avec Ben Duerr de SHADOW OF INTENT)
02. Condemned To Rot (avec Francesco Paoli de FLESHGOD APOCALYPSE)
03. Brotherhood Of Sleep (avec Johnny Ciardullo de CARCOSA, ANGELMAKER)
04. Death Cult (avec Alex Erian de DESPISED ICON)
05. Hell Bound (avec Matt McGachy de CRYPTOPSY)
06. Insect Politics (avec Jason Evans d’INGESTED, AGE OF SUFFERING)
07.The Golgothan (avec Hal Microutsicos d’ENGULF)
08. The Shape Of Hate (avec Oliver Rae Aleron d’ARCHSPIRE)
09. Naturom Demonto (avec David Simonich de SIGNS OF THE SWARM)
10. Malevolent Haze (avec Ricky Hoover d’OV SULFUR)
Chaque chanson du nouvel album s’inspire d’un classique des films d’horreur et voit la participation d’un chanteur invité différent. Le premier single « Death Cult » s’inspire du film Massacre à la tronçonneuse (The Texas Chainsaw Massacre) sorti en 1974 et voit la contribution d’Alex Erian de DESPISED ICON.
DISCOGRAPHIE :
The Purity Of Perversion (1999)
Engineering The Dead (2001)
Goremageddon : The Saw And The Carnage Drone (2003)
The Archaic Anattoir (2005)
Slaughter & Apparates: Methodical Overture (2007)
Strychnine.213 (2008)
Global Flatline (2012)
The Necrotic Manifesto (2014)
Retrogore (2016)
TerrorVision (2018)
Maniacult (2021)
VAULT OF HORRORS (2024)
VAULT OF HORRORS est décrit comme « un voyage épique où les auditeurs sont plongés dans un monde de brutalité intense, caractérisé par des riffs de guitare rapides comme l’éclair, des rythmes de batterie complexes et percutants et des voix monstrueuses qui ne laissent aucune place au répit ».
PRODUCTION :
Mixé et masterisé par le producteur de renom américain DAVE OTERO, connu pour l’éclectique de son travail dans le monde metal. Et travaillant notamment pour deux références du genre extrême (death metal technique, grindcore) ARCHSPIRE et CATTLE DECAPITATION.
ARTWORK :
L’artiste DAN GOLDSWORTHY est l’illustrateur de la pochette qui forme une infâme chimère empreinte de culture pop.
Alors que son debut-album sera disponible dans une semaine, The Black Enderkid en propose un troisième single. Après le clip de « The Final Breath » et la lyrics-video de « Broken Skies », la formation de metal moderne menée par Gaétan Ponzio revient avec « Newborn Plague ». Un ultime aperçu encore plus lourd que ses deux prédécesseurs et qui se découvre en vidéo.
« Cʼest le morceau le plus violent de lʼalbum, il est taillé pour la scène. Cʼest aussi le second clip tourné avec Mr Cana Production. Clip dans lequel il y a cette fois-ci un scénario. Au travers de l’énergie du titre, nous décrivons la descente aux enfers dʼun personnage atteint dʼune maladie mystérieuse incarnée, dans une seconde lecture, par le groupe lui même. »
Symptom Of Decline sortira le 03 Avril chez Tentacles Industries et a été façonné par Gaétan en compagnie de Tom Abrigan (Sunbeam Overdrive, ACOD live, etc.)
Djiin est un groupe de stoner rock psychédélique dont le nom s’inspire des génies et autres créatures de l’invisible issues des croyances et traditions sémitiques. Avec des influences rétro allants du rock progressif 70’s au krautrock en passant par le doom et le heavy période Black Sabbath, et d’autres plus modernes, basées sur le métissage musical entre sonorités traditionnelles orientales et occidentales, Djiin développe un univers personnel, atypique et envoûtant.
Constitué d’un guitariste, un bassiste, un batteur et une chanteuse-harpiste à la voix rauque, percutante et charismatique, le groupe déverse
depuis sept ans ses riffs puissants et saturés, ses rythmes tordus, ses mélodies psychédéliques et ses incantations vocales pour un rendu transcendant, véritable invitation au voyage. L’utilisation de la harpe électrique dans cette formation typée « rock » amène des sonorités uniques qui surprennent et renforcent l’univers ritualiste et mystique du groupe.
Mirrors est composé de 5 titres originaux pensés comme 5 récits à la fois indépendants et complémentaires. L’album nourrit une ambivalence entre ombre et lumière. La Face A, lumineuse, solaire et psychédélique se fond et s’oppose à la face B, torturée, sombre et douloureuse, tels les deux côtés d’un miroir. Tout en poésie et métaphores, l’album aborde des thématiques fortes comme le handicap, la maladie, la psychose, les violences misogynes, la vanité ou encore la mort. Mirrors sera disponible le 03 Mai 2024 chez Klonosphere/Season Of Mist.
Pour annoncer la sortie de son prochain album le 03 mai prochain, chez VLAD Guetto Folk, le groupe Djiin propose une impressionnante session live enregistrée aux Studios Eclosion
La release party aura lieu le 05 Mai au Ferrailleur à Nantes avec Moundrag suivi d’une tournée en Europe !
Line-Up :
Chloé PANHALEUX – Singer / Electric Harp
Allan GUYOMARD – Drums / Backing vocals
Tom PENAGUIN – Guitar / Backing vocals
Charlélie PAILHES – Bass / Backing vocals
Le guitariste / chanteur, Jimm sort le « Nouvel Inquisiteur » un premier extrait de son album à venir.
Sa musique puise ses influences au cœur du rock et du punk des années 80 et 90 en y rajoutant des influences metal du début années 2000.
Il a sorti 3 albums à ce jour, « JIMM », son premier album éponyme en 2013, « IN(CANDECENCE » en 2015 et « DISTORSION CEREBRALE » en 2018.
Voici le pitch du clip :
« L’idée de départ était de symboliser la bien-pensance. Nous nous sommes dit que la personne la plus représentative en était Yann Barthès. Il a servi de modèle à notre personnage principal. Sa tenue, les décors de son émission sont évidemment de la partie. Après avoir été humiliée, Nikita, son invitée du jour, le kidnappe, et après un rituel, la « créature noire » qu’elle est devenue transformera également sa victime qu’elle finira par dévorer. Il faut comprendre par ce biais, que ce « nouvel inquisiteur » symbolise le « politiquement correct » qui finit par dévorer tous ceux qui y croient à force de devenir dictatorial ».
La vidéo a été réalisée par Dejan ILIC
Ce premier extrait de l’album à venir « MOMENTUM » sortira en mai 2024. Il a été enregistré avec Billy Albuquerque à la batterie.
Le groupe de hard rock/dark rock finlandais THE 69 EYES vient de sortir son nouveau single « Fade To Grey » le 22 mars 2024 via Reigning Phoenix Music.
La chanson a été réalisée en collaboration avec l’auteure-compositrice américaine DIANE WARREN qui déclare :
« Il y a un an, je suis entré dans un magasin et j’ai vu quelqu’un de vraiment cool qui incarnait le rock’n’roll. C’était Jyrki, l’incroyable chanteur de THE 69 EYES. Maintenant nous voici avec ma chanson avec eux, ‘Fade To Grey’ sur le point de sortir. J’ai très hâte que tout le monde l’entende ! »
Clip vidéo de « Fade To Grey » :
Le chanteur JYRKI 69 commnente :
« C’était exactement comme l’un de ces rêves hollywoodiens : j’étais sur Rodeo Drive à Beverly Hills lorsqu’une dame m’a demandé à l’improviste qui j’étais. Ca m’a dérouté et c’est tout. Plus tard, j’ai réalisé que cette dame était Diane Warren, la plus grande compositrice de la planète et l’auteur de ma chanson préférée de THE CULT, ‘Painted On My Heart’. C’était une opportunité pour moi de lancer une collaboration musicale avec elle mais j’ai raté mon unique chance ! Une année s’est écoulée et ses tubes me suivaient partout. Ensuite, j’ai regardé la remise des Oscars et elle s’y est produit ! Je me suis encouragé à la contacter et voici le résultat : une ballade épique intitulée ‘Fade To Grey’ dont ce monde et THE 69 EYES avaient besoin ! »
PRODUCTION :
« Fade To Grey » a été produit par Erno Laitinen aux studios Inkfish à Helsinki, en Finlande. Le sigle a été mixé par Miles Walker aux Westside Studios à Atlanta, en Géorgie, puis Björn Engelmann y a mis la touche finale au Cutting Room de Stockholm, en Suède.
ARTWORK :
L’artwork a été réalisé par Marcelo Vasco (SLAYER, KERRY KING, DIMMU BORGIR).
SORTIE/LABEL :
Le groupe de hard rock/dark rock finlandais THE 69 EYES vient de sortir son nouveau single « Fade To Grey » le 22 mars 2024 via Reigning Phoenix Music.
Le groupe de metal moderne français DAGOBA sortira son nouvel album, intitulé DIFFERENT BREED, le 14 juin 2024 via VERYCORDS.
FULL ALBUM DE LA PRECEDENTE OEUVRE DE DAGOBA BY NIGHT (2022) :
Le label a déclaré :
« Avec « Different Breed », son neuvième album, DAGOBA a souhaité proposer une musique qui pourrait rassembler les fans les plus anciens, comme les nouveaux venus dans leur univers. Minutieusement théorisé soir après soir lors de leur tournée européenne 2022, « Different Breed » met à lhonneur chaque particularité faisant du groupe ce quil est : riffs massifs, orchestration, passages indus et refrains entêtants) tout en les mettant au goût du jour grâce au savoir-faire acquis au fil du temps. Mixé et masterisé par Chris Coulter (Arcane Roots, Idles) à Londres, « Different Breed » propose à l’auditeur une plongée sans concession dans un monde dur, sombre, mais aussi mélancolique et empli despoir. »
TRACKLIST :
01. Genes15
02. Arrival Of The Dead
03. Distant Cry
04. Different Breed
05. Minotaur
06. Léthé
07. Phoenix Noir
08. At The End Of The Day
09. Vega
10. Cerberus
11. Alpha
ARTWORK :
L’artwork est l’oeuvre de MATHIEU QUESTEL.
SORTIE/LABEL :
Le groupe de metal moderne français DAGOBA sortira son nouvel album, intitulé DIFFERENT BREED, le 14 juin 2024 via VERYCORDS.
Le combo blues-rock/heavy rock DÄTCHA MANDALA révèle tous les détails de son prochain album « Koda », dont la sortie est prévue le 26 avril 2024 via DM Prod, Take It Easy et Discos Macarras. Le deuxième morceau clippé, qui porte le nom de l’album, est une véritable tempête auditive et visuelle !
Le nouvel album de DÄTCHA MANDALA « Koda » est habilement imprégné de la richesse de la scène Brit rock. Avec une production aussi lourde qu’acidulée, il se compose de tubes rock boostés par des influences metal sous-jacentes. La nouvelle vidéo du même nom a été réalisée par Tony Horel. Elle pointe avec fracas les incohérences des choix politiques en matière d’écologie. Image orageuse, riffs incandescents et batterie fracassante viennent parsemer un single dévastateur.
Le groupe explique : « Ce morceau traite de questions existentielles et remet en question les priorités humaines concernant la conquête spatiale, l’aveuglement de la religion et des nationalismes au détriment de la préservation de la viabilité de notre planète et de la Vie en général. N’allons-nous donc pas tous mourir à un moment ou à un autre ? Ne pourrions nous pas faire du temps qui nous est imparti, un moment de partage, de création et d’échange vertueux pour toutes et tous sur cette si belle planète ? »
Le nouvel album « Koda » de DÄTCHA MANDALA sort le 26 avril 2024 chez DM Prod et Take It Easy en vinyle, CD, streaming et téléchargement. Une édition spéciale couleur est prévue sur le label catalan Discos Macarras Records. « Koda » a été enregistré et mixé par Charles de Schutter (No One Is Innocent, Ghinzu, AQME) aux studios ICP et Rec’N’Roll à Bruxelles, et masterisé par Jett Galindo (Neil Young, Pink Floyd, Nile Rodgers, Paul McCartney) au Bakery Studio à Los Angeles. Une artillerie lourde qui ne passe pas inaperçue et que le groupe a su manier à bon escient.
DÄTCHA MANDALA nouvel album « Koda » : sortie le 26 avril 2024 via DM Prod, Take It Easy, Discos Macarras.
TRACKLIST « KODA »
1. She Said
2. Koda ????
3. The Wanderer
4. Om Namah Shivaya
5. Syndrome of Laborious Optimism
6. Wild Fire
7. Love Myself
8. Thousand Pieces
9. It’s Not Only Rock’n’Roll
10. Julietta
11. Homeland
Depuis ses débuts en 2004, The Ghost Inside est une source d’inspiration pour nombre de groupes et de fans. Résilience, persévérance et vulnérabilité pourraient parfaitement résumer les titres de la bande californienne dont la discographie est directement marquée par les épreuves de la vie. Alors que son sixième album sortira sur les plateformes de streaming dans un mois jour pour jour, l’incontournable formation de metalcore en propose un quatrième extrait : « Split ».
« « Split » évoque ces moments où tu as le sentiment que ton monde s’effondre et où tu te retrouves prisonnier de tes pensées et de ton imagination. Ces mêmes pensées et imagination qui te font remettre en question la réalité et te poussent dangereusement vers ton point de rupture. » (The Ghost Inside)
Pont parfait entre sonorités agressives et messages profonds, Searching For Solace trouve son essence dans des éléments qui ont toujours jalonnés la musique de The Ghost Inside : l’honnêteté, la mélodie et la sensibilité. Parfois plus sombre mais surtout plus varié que ses prédécesseurs, ce sixième disque est la quintessence de la discographie des californiens.
Le bassiste Jim Riley ajoute à ce sujet : “comparé à nos précédents albums, Searching For Solace laisse bien plus de place au chant et nous avons porté un soin particulier à la structure des morceaux qui le composent. Presque paradoxalement, Searching For Solace renferme aussi certains titres les plus lourds que nous n’ayons jamais écrits. C’est un nouveau chapitre, même s’il n’est pas si éloigné de nos sonorités habituelles. C’est plutôt la continuité de celles-ci. Et cela nous ouvre de nombreuses possibilités toutes plus excitantes les unes que les autres.”
Quatre ans après l’éponyme The Ghost Inside (que Loudwire a nommé meilleur album rock et metal de 2020 !) et alors que le groupe enchaîne les énormes tournées en tête d’affiche, Searching For Solace arrive au moment idéal pour The Ghost Inside. Neuf ans après le tragique accident de bus qui a changé à jamais leur parcours, le chanteur Jonathan Vigil, les guitaristes Zach Johnson et Chris Davis, le bassiste Jim Riley et le batteur Andrew Tkaczyk sont plus en phase avec eux-mêmes que jamais. Comme le dit l’adage, “l’important, ce n’est pas la destination, c’est le voyage” et pour The Ghost Inside, Searching For Solace est un voyage initiatique vers la paix intérieure.
“Les gens me demandent souvent comment je fais pour rester positif. J’ai réalisé qu’il n’y a jamais vraiment de moment où l’on atteint pleinement le « bonheur ». C’est une quête permanente. Je sais que la vie est faite de hauts et de bas. Il faut être prêt à accepter de nouvelles choses, à se battre et à s’adapter. Car cette recherche du réconfort ne s’arrête jamais.” (Jonathan Vigil, chant)
Ce nouvel album a été produit majoritairement par Dan Braunstein (Spiritbox, Dayseeker), certains titres ont toutefois été confiés à Cody Quistad (Wage War), Carson Slovak et Grant McFarland (August Burns Red, Bloodywood).
Searching For Solace
01. Going Under
02. Death Grip
03. Light Years
04. Secret
05. Split
06. Wash It Away
07. Cityscapes
08. Earn It
09. Wrath
10. Reckoning
11. Breathless
Searching For Solace sortira quant à lui en digital le 19 Avril avant d’être disponible en CD et vinyle le 7 Juin via Epitaph Records.