

LE TEMPS
Chaque pas fait dans l’existence est régi par la créature la plus abjecte qui soit, maîtresse du temps, démon le plus imposant au cœur du royaume terrestre. Celui qui nous offre tout, et tant, pour ensuite tout nous arracher à sa guise, sans le moindre scrupule.

REINE DES TOURMENTS
THE AGONIST frappe au berceau, puis colle à la peau de la création humaine, pour ne jamais sans détacher. Reine des tourments quotidiens psychologiques et physiques, dont l’issu ne peut-être détourné de son rôle funeste et final. Un trou noir et béant, où tout s’arrête, tout sauf lui, LE TEMPS qui demeure en roue libre jour après jour pour y définir un nouveau rôle et y harceler une nouvelle proie.
Pourtant, destruction formant un amas de cendres en perpétuel reconstruction que THE AGONIST va nous conter, en pillant dans sa plus grande source de souvenirs, au pessimisme outrageant qui pourtant laisse filtrer une infime lueur de rédemption et d’espoir.
CINQ CHAPITRES D’UNE HISTOIRE TERRIFIANTE
Cinq chapitres d’une histoire terrifiante, où se mêle horreur, fantastique, lyrisme, beauté, laideur et émotion. THE AGONIST nous rappel à quel point il tourmente l’humanité, entretenant les servitudes au malheur et à la douleur, en favorisant l’échappatoire d’un bonheur artificiel par des vices les plus dommageables. Un simple effet miroir, ne faisant qu’entretenir jours après jours la déchéance humaine, jusqu’au point de non retour.
UN CYCLE PERPETUEL
Un cycle perpétuel, seulement interrompu par ce point mortuaire qui ne peut-être différé. DAYS BEFORE THE WORLD WEPT y fait face dès son premier dilemme (« Remnants In Time ») en l’introduisant par une mélodie poignante au piano, s’embrasant dans un tourbillon de voix claires et de notes très rapides.

Déchaînant une nature calme, devenant hostile, passage du blanc au noir, de la pureté aux ténèbres, de la vie à la mort. Derniers souffles, râle d’agonie, puis un nouveau voyage qui commence juste après. Trouvant, colère et souffrances infligées à l’être le plus aimé dans un magma de reproches haineux aux sons apocalyptiques et chant morbide.
Aussi ténébreux, puissant, et soutenue, que limpide et splendide. Nature humaine étant toujours là malgré tout, par instant, se mélangeant à la nature morte par le son des deux voix incroyablement organiques. Seul le duel des deux virtuoses solistes (guitares) vient l’interrompre dans un flot d’émotion.
UN COMBAT
Un Combat, opposant sans cesse mort, et envie de rattraper absolument la lueur de vie qui reste sur de beaux souvenirs. Femme angélique et démoniaque, fragile et forte, délicate et agressive, s’opposant sans cesse. Finalement la mort s’éteint quelque peu, pour laisser partir la vie lentement tout en poésie. Un retour à la voix clair et aux lignes de piano, comme un dernier adieu.

INSTALLANT, CONFUSION, DECEPTION, PUIS ACCEPTATION
Installant, Confusion, déception, (« Immaculate Deception ») puis acceptation douloureuse. Qui finalement amènera sans doute, à l’offrande de rédemption, protection et espoir sur « Resurection ». THE AGONIST et sa VICKY « blanche », y partage leur côté le plus heavy.
La démoniaque y apparaît toujours malgré tout, mais s’éclipse rapidement. Laissant s’exprimer bien d’avantage l’ange blanc, sur un chant clair tout aussi hargneux et puissant, exceptionnellement beau et maîtrisé. THE AGONIST nous gratifie alors de passages, plus mid-tempo, encore plus mélodiques, mais toujours très denses et complexes.
LES INSTANTANES DU TEMPS
Les instantanés du TEMPS remontant ensuite aux gloutonneries et à la cupidité des vivants. Sans préoccupations et prises de conscience du monde miséreux qui les entoure. De l’environnement planétaire et économique et du gaspillage des richesses uniques offertes par la nature.

THE AGONIST insuffle alors à son imagerie, une énergie opératique du meilleur effet (« Feast On The Living »), très exaltant.
Nos deux maitres gratteux, y excelle une fois de plus avec des soli, très rapides, pourtant purs et harmonieux.
LE TEMPS DICTE SA TOUTE DERNIERE VOLONTE
Alors, le temps dicte sa toute dernière volonté, celui de faire pleurer prochainement toute l’humanité. L’Armageddon y frappera le ciel, rassemblant les rois de la Terre et le Dieu Tout-Puissant, afin de se livrer bataille homérique. THE AGONIST nous met en garde avec son éponyme « Days Before The World Wept » aux doucereuses notes acoustiques, introduisant une colère exubérante faite d’un refrain étalon.
A CE JOUR SOUVERAIN
Mais, THE AGONIST est à ce jour souverain dans son TEMPS, faisant d’une thématique sinistre et dramatique, une véritable œuvre d’art.
Et réussir à transmettre des émotions devant les vestiges d’un passé, relève du génie artistique.

LINE-UP:
DANNY MARINO: GUITARE (depuis 2004)
CHRIS KELLS: BASSE, CHOEURS (depuis 2004)
SIMON MCKAY : BATTERIE, PERCUSSIONS (depuis 2007)
PASCAL « Paco » JOBIN: GUITARE (depuis 2010)
VICKY PSARAKIS: CHANT, PIANO (depuis 2014)

TRACKLIST:
01. Remnants In Time
02. Immaculate Deception
03. Resurrection
04. Feast On The Living
05. Days Before The World Wept
Cette nouvelle œuvre inspirée d’expériences réelles explore un conte conceptuel sinistre sur la cupidité, la gloutonnerie, la confusion, la douleur, la rédemption et l’espoir.
DISCOGRAPHIE:
Once Only Imagined (2007)
Lullabies for the Dormant Mind (2009)
The Escape (EP, 2011)
Prisoners (2012)
Eye Of Providence (2015)
Five (2016)
Orphans (2019)
DAYS BEFORE THE WORLD WEPT (2021)
PRODUCTION:
Le EP a été produit par CHRISTIAN DONALDSON (Beyond Creation, Cryptopsy, Despised Icon).
ARTWORK:

SORTIE/LABEL:
Le groupe de death metal mélodique canadien THE AGONIST sortira son nouvel album, intitulé DAYS BEFORE THE WORLD WEPT, le 15 octobre 2021 via NAPALM RECORDS.

Retrouvez notre toute dernière interview avec Vicky Paris ici :
https://www.loudtv.net/interviews/video-nouvelle-interview-avec-vicky-de-the-agonist/
Plus d’infos sur le groupe ici :
https://www.facebook.com/TheAgonistOfficial/
PAPABORDG POUR LOUD TV.