Fondé à Brest pour des raisons incompréhensibles en 2015, Tranzat autoproduit ses deux premiers albums. Il s’agit tout d’abord, de « Hellish Psychedelia », en 2016. « The Great Disaster » sort, quant à lui, en 2018, cette fois-ci avec l’aide de Black Desert Records.
C’est ainsi qu’ils se produisent dans les grandes salles bretonnes (La Carène, Le Novomax, La Citrouille, La Nouvelle-Vague, Le Ferrailleur…). En effet, ils sont en première partie de groupes internationaux comme Kadavar, Shining (NO), Mos Generator, Mass Hysteria et… Seth Gueko. Le groupe rejoint, ensuite, l’affiche du Motocultor Festival en 2018 et participe à la tournée française Motocultor Night Fever avec Angelus Apatrida l’année suivante.
Ouh La La, de Tranzat, c’est l’histoire insolite de quatre jeunes trentenaires pleins d’humour et en errance vestimentaire qui décident, ensemble, de tout donner pour la musique. Tout, vraiment ?
Enregistré au studio The Apiary (Birds in Row, Plebeian Grandstand…) début 2020, ce troisième album éclectique défriche les genres, les sous-genres et les sous-genres des sous-genres pour proposer une musique honnête et joueuse, dont les paroles évoquent avec dérision les thèmes les plus universels. Une déclaration artistique à la fine pointe de la technologie musicale, une ode à la transgression : incontestablement l’album de la maturité… Poil au nez.
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