YAROTZ nous parle de psychostasie avec son album « Erinyes »

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Yarotz – photo Franck Potvin
Yarotz – photo Franck Potvin

À PROPOS DE ERINYES

YAROTZ utilise la musique comme exutoire et comme moyen d’exprimer le rejet de certains penchants de notre humanité. En effet, le groupe de metal punk hardcore  écrit souvent en réaction à des sujets de société actuels ou des faits qui ont touché leur sensibilité : l’héritage climatique, les pressions sociétales ou encore la religion. Par ces textes, YAROTZ ne fait pas uniquement un état des lieux. Dans chacun des morceaux, le groupe font vivre les Erinyes en racontant un twist scénaristique, un « retour de bâton ».
Ainsi, par cet album, le combo de metal punk hardcore a voulu développer l’idée de la psychostasie. Il s’agit, dans la mythologie égyptienne, de l’étape de la pesée de l’âme. Le défunt se voit peser le cœur afin de déterminer sa futur destination. Le visuel de l’album, signé par l’artiste Japonaise Yuki Watanabe, représente une version végétale d’Erinye, déesse vengeresse de la mythologie grecque, offrant en sacrifice un cœur humain à un animal affamé.
Artwork - Yuki Watanabe
Artwork – Yuki Watanabe
L’opus se compose de neuf titres.  Il a été enregistré et mixé par Cyrille Gachet (Year Of No Light, Fange, etc.) et masterisé par Alan Douches (Mastodon, Converge, Dillinger Escape Plan, etc.). L’artwork est un diptyque réalisé au crayon par l’artiste japonaise Yuki Watanabe. Erinyes voit la participation de Christian Andreu (Gojira) sur “Childish Anger”.
Retrouvez le groupe sur sa page facebook : https://www.facebook.com/YAROTZ

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